On dit qu’elle est le genre de femme qu’on remarque trop tard. 
Introvertie, presque effacée dans une pièce pleine de monde, mais avec un regard qui accroche l’ombre. 
Marie L.M écrit comme on respire quand on étouffe : par nécessité. 
Sensible, étonnamment lumineuse malgré la noirceur de ses histoires, elle construit ses récits comme des autopsies de l’âme. 
Elle n’aime pas parler d’elle, alors elle le fait à travers ses personnages — et quand elle s’y abandonne, c’est tout son chaos qu’elle offre. Brut, poétique. Impardonnable.